l’Europe ne m’est jamais apparue comme ennuyeuse, elle m’a toujours fait rêver. Un nom qui évoque la Paix, la liberté, la force, l’union et enfin l’emploi. Et pourtant 50% des Français pense que l’Europe est une mauvaise chose. Faut-il la détruire pour en construire une nouvelle?
Au sortir de la guerre, l’Europe n’était qu’un champs de ruines. Puis cette Europe a subi des mutations telles, que l’ensemble même du paysage s’est trouvé bouleversé. Colère gaspillage, Illusion, raisonnements faux, mauvaises explications, Le 22- 25 mai prochain les européens et européennes sont invités à voter. La vérité, pour l’Européenne convaincue que je suis, est ailleurs.Les politiques à tort ont cru qu’il fallait créer l’Euro pour vivre mieux ensemble. N’était-il pas souhaitable d’apprendre à vivre ensemble sur un projet commun. Certes le business l’argent, rapproche les peuples, mais il nous fallait acquérir une “pensée élargie”. Cette pensée, cette Europe imaginaire je l’avais imaginé dans un désir pour tous, de travailler sur des projets communs. Pour exemple la santé? La recherche…et enfin une police Européenne commune.
Les Français et les Françaises, ont perdu confiance, nos politiques ont trop de convictions, peu de sagesse et que penser du bon sens!
Un new deal Européen est désormais à l’ordre du jour! Nous voilà donc encore une fois, repartis sur des politiques de soutien, de relance et à tort de la puissance publique à tous les niveaux. “Le pacte de croissance doit se concrétiser ” réclame les uns, avec un emprunt comme instrument majeur de développement, les autres suggérent une harmonisation fiscale et sociale. Pour mémoire
Les institutions de l’union Européenne sont au nombre de sept:
- Le conseil Européen
- Le conseil de l’Union Européenne
- La commission Européenne
- Le parlement Européen
- La cour de justice de l’union Européenne
- La Banque centrale Européenne
La vrai question ne serait-elle pas? A quand un Président Unique avec un premier ministre?
Allez voter quand même, le 22 mai….hommes et femmes avons la politique que nous méritons.
