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Tribune du 2 décembre 2025 : la parole à Julie Hatchuel, Soprano lyrique

A vous lectrices, lecteurs et abonnés fidèles,

A vous qui nous lisez, à vous qui croyez au lien, à la voix et aux alliances…
Oui, au sein de wimadame nous aimons les voix vraies, celles qui bousculent et inspirent. S’il est vrai que la voix est une première signature avant même les mots, elle révèle nos émotions, nos doutes et nos craintes. Certaines apaisent quand d’autres peuvent agacer…
Nous avons voulu pour la première fois donner la parole à une soprano. Quand elle a commencé à chanter, tout a changé dans la salle. Sans instrument, sa voix seule a touché tous les cœurs.
Nous le savons, depuis toujours la musique accompagne l’homme, à travers des siècles, car elle parvient souvent à unir les peuples différents. Même dans les périodes les plus sombres, la musique reste un souffle invisible qui nous unie les uns aux autres.
Une soprano, c’est une âme qui s’élève au-dessus du tumulte. La voix traverse le temps, et dans ce siècle pressé de tout, saturé de bruit savons-nous encore écouter ses instants suspendus ?
En 2026, wimadame veut, plus que jamais, rassembler hommes et femmes dans un monde de sincérité, de courage et de chaleur humaine. Entreprendre devenir entrepreneur de sa vie.
S’adresser à sa communauté, c’est d’abord parler avec elle, pas à elle. Rassembler des voix sincères, uniques, authentiques, audacieuses, des voix qui relient plus qu’elles n’imposent. Éviter d’exister seul, une communauté doit vivre du dialogue.
Réveillons nos idées, chaque tribune, chaque échange, chaque rencontre, wimadame transforme vos conversations en alliances durables.
Ici avec vous, trouver sa place sa voix. wimadame un mouvement qui fait du sens et qui vous fera avancer vers la lumière, changer de regard. Et si le vrai potentielle, l’économie ne se trouvait plus dans les tours vitrées des grandes entreprises mais dans les micro-entreprises, ces forces vives trop souvent ignorées. Cessons de penser que la sécurité se trouve dans les procédures, le talent n’a pas de taille, il a une âme.

2026, alors oui Madame, changeons de logiciel, faisons confiance enfin.


Maintenant la parole à Julie

Merci de vous présenter

Je suis Julie Hatchuel soprano lyrique à l’opéra de Paris , maman solo de deux jolies filles Eva et Joyce.

Qu’est-ce qui vous a vraiment poussé à chanter ?

Depuis toute petite j’ai toujours aimé chanter, j’ai la passion de la musique et plus particulièrement la musique classique, et l’opéra.

Votre principale qualité, défaut

Je suis douce, bienveillante, gentille, profondément à l’écoute des autres, peut-être un peu trop…
Mon principal défaut, c’est celui d’avoir dans la vie, un flou artistique.

Votre rêve le plus fou

Chanter sur la scène au Metropolitan, l’opéra de New York, à l’opérade Tel Aviv et recommencer bien sûr à l’opéra Bastille.

Votre coup de cœur

Mon vrai et premier coup de cœur où j’ai tremblé de tout mon corps et je sanglotais en écoutant mon professeur de piano pour la première fois de ma vie, jouer le concerto numéro trois de Rachmaninov.

Votre coup de gueule

Les hommes politiques, souvent je trouve que c’est du n’importe quoi ! Et les injustices …

Comment faites-vous face à vos doutes ?

Je positive, j’avance et je reprends confiance en moi.
Je fais de l’autohypnose et la pensée positive.

Vos trois mots préférés

Justice, amour, réussite.

Qu’aimeriez-vous transmettre dans votre vie ?

L’amour sur toutes ces formes, transmettre la beauté, l’art, le chant et le piano, la connaissance à mes enfants et dans le monde.

Que signifie pour vous réussir !

Réussir c’est ses réaliser ses rêves, les plus fous pour moi et mes enfants.

Quelles questions auriez-vous aimé que je vous pose ?

Pourriez-vous chanter dans le rôle soliste de la Tosca et celui de La Norma ? Et vous et je vous aurais répondu, oui !

Un mot pour wimadame

J’admire tout ce que vous avez fait et tout ce que vous faites.


Coup de cœur : Henri-Jacques Citroën

Avant d’être un marché la France est une histoire humaine

En France, chez nous, l’entreprise familiale n’est pas seulement un héritage vivant, c’est une force qui traverse nos générations, des racines anciennes puissantes, des idées qui osent notre présent.
J’aimerai vous présenter Henri-Jacques Citroën, héritier d’un nom qui a marqué l’histoire, et qui a cru dès le premier jour au premier Prix Jacob Abbou, remettant les trophées à une jeune génération pleine d’espoir, soutenant des talents et des initiatives audacieuses.

Qui est Henri-Jacques Citroën ?

D’origine européenne, ses ancêtres sont hollandais, polonais, italien, et malgré sa posture publique marqué par l’engagement, il choisit jeune, un style de vie plutôt discret. Diplômé de HEC Paris et en droit, conseiller du commerce extérieur en France, Henri-Jacques Citroën a choisi l’aventure de l’international, il a passé 30 ans au Vénézuéla, représentant nos grandes entreprises françaises.
Avec une élégance rare, il sait dialoguer la tradition industrielle et l’innovation sociale.

Au sein de wimadame, nous aimons, ces figures de lumière authentique, celles qui avancent. Toujours confiant et optimiste, ambassadeur des collectionneurs Citroën, il veille sur son grand père. Nous aimons ces héritiers qui ne se contentent pas de recevoir, mais qui inspirent, créent et parfois réconcilient. Henri-Jacques, bâtisseur, crée des ponts entre le passé de son illustre grand père Henri Citroën, et la lumière de demain. Soucieux de la transmission, ce petit fils porte un nom qui brille, et avec une certaine force tranquille, il illustre le courage silencieux qui parfois change le monde, et son attachement au lien humain.
Dans sa voix, lors de notre déjeuner, il y a une fidélité à une belle histoire. Son rêve ? Faire entrer son grand père au Panthéon, pas seulement d’un petit fils, mais d’honorer l’industrie, le courage, l’audace, la création, tout cela mérite mémoire pour l’éternité.
Pour conclure notre tribune, cet héritier d’une lignée visionnaire montre que le passé vit en nous, l’histoire n’est pas seulement à se rappeler mais à vivre au présent.
Bonne chance à lui. Merci à Henri Citroën qui a créé des voitures, un nom qui traverse l’histoire et qui a eu l’audace d’un rêve industriel en France.

A bientôt pour un autre coup de cœur.


Il y a un an déjà, Grand Prix Jacob Abbou, le 14 novembre 2024

Pour sa première édition, le jeudi 14 novembre 2024, à l’Automobile Club de France, un lieu parisien atypique comme il l’était, nous avons accueilli notre famille, nos amis, ses étudiants, de nombreux acteurs économiques, des associations. Avec cœur, se rassembler, honorer sa mémoire, c’est selon nous le rôle d’un média dans notre nouveau monde. Offrir de la lumière vers le futur.

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