Revue de presse internet & news Tribune d'expression

Revue de presse internet & news – juin 2018

Relevé par la communauté wimadame

– Prendre la parole en public peut sembler dépassé à l’ère du web et des réseaux sociaux. Pourtant, la maîtrise de votre communication orale est un atout de taille pour convaincre de nouveaux clients et développer votre activité. Suivez ces 5 astuces, devenez une source d’inspiration pour vos pairs et apprenez à être écouté en toutes circonstances ! rendez-vous sur le site Place des réseaux le web magazine des Entrepreneurs.

– La satisfaction client est l’un des enjeux phares de votre entreprise. Vous la mesurez grâce à des indicateurs, vous mettez en place des baromètres, vous récoltez des commentaires… mais ensuite ? Que se passe-t-il ?
Plus impatient, plus exigeant, mais aussi plus fidèle lorsque la qualité de service est au rendez-vous, le client 2018 a le goût de l’immédiateté. Les nouvelles technologies et la diversification de la demande sont passées par là.
Au cours d’un atelier en ligne, Axialys propose de vous donner toutes les clés pour offrir une expérience client satisfaisante, qui sera votre arme de choix pour acquérir et fidéliser votre clientèle. (sélectionné pour vous dans Frenchweb)

Hyperconnectivité et burn-out (source Pygmalion communication) : Le mois de juillet arrive à grands pas et certains d’entre nous appréhendent de ne pas pouvoir lâcher leur ordinateur, téléphone et tablette. Ce monde hyperconnecté est exigeant et nous pouvons être soumis à la pression de la réponse urgente, même pendant les vacances. Cette période au cours de laquelle nous prévoyons plutôt de visiter notre famille, de faire la fête entre amis, de profiter des paysages ou encore de se remettre en forme, ne doit pas devenir un moment de doute et d’anxiété lié à l’activité professionnelle.

Et oui le burn out cela existe, mais l’entreprise n’est pas seule responsable, c’est le tout trop connecté… libérez-vous cet été faites un vrai break.

Le burn-out arrive malheureusement sans prévenir et sans qu’on puisse le contrôler. La présence du numérique est telle que la frontière entre la vie professionnelle et la vie privée devient de plus en plus ténue. Mails, appels, SMS et applications gardent les salariés en alerte et constamment connectés à leur entreprise, … à tel point que certains ne se déconnectent jamais, même la nuit. Un tel changement comportemental induit une évolution sur le mental. Sollicité en permanence, soumis à un flux continu d’informations diverses et variées, le cerveau a besoin de repos.

Près d’un Français sur deux (45%) aimerait trouver des moments pour se déconnecter (Source : CSA Link, juillet 2017)

BPI group a mené une enquête avec BVA auprès des femmes sur leur perception de la parité H/F en entreprise et de leur employabilité. Vous en trouverez ci-dessous les principaux enseignements et l’analyse réalisée par BPI group. Vous pouvez également télécharger les résultats complet de l’étude via ce lien :
Les salariées françaises : leur perception de la parité H/F en entreprise et de leur employabilité.

Tous les mois, un panel de 1000 salariés est interrogé par BVA pour BPI group, cabinet de conseil RH. Pour cette troisième vague, nous nous sommes intéressés aux femmes et à leur perception de la parité au sein de l’entreprise.

LES PRINCIPAUX CHIFFRES

  • 1/3 des femmes salariées françaises se sentent exposées à un risque de perte d’emploiau cours des trois prochaines années, notamment les plus jeunes, les employées et les ouvrières L’idée de disposer d’un véritable budget formation séduit une grande majorité (83 %)
  • Les femmes de 40 à 49 ans expriment qu’elles se sentent moins crédibles, moins bien payées vis-à-vis des hommeset peu représentées dans le middle management
  • 51% des salariées souhaite se former à de nouvelles expertises liées à leur métier, conscientes de la transformation des métiers qui s’annoncent

Des femmes prêtes à être pleinement actrices de leur carrière
Une majorité des salariées (51%) souhaite se former à de nouvelles expertises liées à leur métier, conscientes de la transformation des métiers qui s’annoncent. Ces résultats sont rassurants et en parfaite cohérence avec ceux du mois précédent : les femmes comme les hommes sont désireuses de développer de nouvelles compétences pour rester dans la course de l’emploi. Pour autant, elles ne sont que 25 % à envisager une mobilité interne ou externe pour développer leur propre employabilité.
Il paraît alors nécessaire de rappeler que l’employabilité ne se limite pas à disposer d’expertises métiers. Être employable, c’est avoir la capacité de s’adapter au marché du travail. Il s’agit par exemple de vivre plusieurs expériences professionnelles dans des entreprises différentes. Mais encore faut-il ressentir l’envie et le besoin de changer !
Les salariés français sont reconnus pour leur goût modéré en matière de mobilité, il appartient aux pouvoirs publics comme aux entreprises de les accompagner dans cette nouvelle culture et relation à l’emploi. Le coaching ou encore le mentorat sont des solutions qui permettent d’ouvrir le champ des possibles et de faire évoluer les femmes dans un environnement satisfaisant pour oser le changement ; changement qui construira une carrière en complément des compétences acquises tout au long de leur vie professionnelle.
Il n’est ni trop tôt ni trop tard pour développer son employabilité alors que la durée de vie professionnelle s’allonge et que les aléas de la vie nous rendent particulièrement fragiles.

Nous appelons à une véritable révolution culturelle pour mobiliser massivement toutes les femmes, et ce dès leur plus jeune âge professionnel, tant elles sont concernées par la nécessité de cet investissement sur leur employabilité.

Travail indépendant : Des premières mesures gouvernementales encourageantes qui doivent amener à une transformation globale plus ambitieuse (Source didaxis)

Les premières mesures prises au bénéfice des indépendants vont dans le bon sens  

  • Réduction des cotisations sociales qui pèsent sur les indépendants (professions libérales, commerçants, artisans, agriculteurs…) 

La concrétisation de cette mesure est bénéfique. Le gain obtenu grâce à la diminution des cotisations sociales est de 270 € par an pour un travailleur indépendant ayant un revenu mensuel égal au Smic et de 550 € par an pour un travailleur indépendant ayant un revenu mensuel de 2 400 €, et ce, malgré la hausse de la CSG de 1,7 %.

  • Suppression de la caisse qui gère le Régime Social des Indépendants (RSI) pour l’adosser au régime général, afin que tous bénéficient de la même qualité de service et des mêmes droits.

La suppression du RSI et le non-alignement des cotisations des indépendants sur celles des salariés sont des mesures vertueuses et vont permettre, à terme, d’encourager fortement la création d’entreprises en France.

  • Suppression des charges des micro-entreprises la première année et doublement des plafonds pour permettre à plus d’entreprises de bénéficier de cette mesure et du régime fiscal de la microentreprise.

La concrétisation rapide de cette promesse de campagne est une excellente nouvelle. Outre l’année blanche pour les créateurs d’entreprise, le gouvernement permet aux micro-entrepreneurs qui démarrent une activité de bénéficier de trois années d’allègements. Le doublement des plafonds du régime de la micro-entreprise est acté. Quant à la franchise de TVA, elle reste inchangée, afin d’éviter toute concurrence déloyale entre les petites entreprises au régime micro et celles dépassant le seuil.

  • Possibilité pour tous les artisans et commerçants, chaque année, d’opter ou non, selon leur besoin, pour le régime fiscal de la micro-entreprise

Cette mesure est entrée en vigueur. Un artisan aura automatiquement moins de charges, en raison notamment de l’exonération de la TVA. Par ailleurs, les micro-entrepreneurs dont l’activité est saisonnière ne seront plus pénalisés par les mécanismes de proratisation du chiffre d’affaire.

  • Mise en place d’une assurance chômage pour tous qui couvrira tous les actifs – salariés, artisans, commerçants indépendants, entrepreneurs, professions libérales, agriculteurs – et facilitera les transitions d’un statut à un autre.

Le sans-faute est raté, en raison notamment d’une faible marge de manœuvre budgétaire qui vient mettre à mal les ambitions du gouvernement. « Nous regrettons l’inégalité qui subsiste entre les salariés et les indépendants face aux affres du chômage ».

Si la France parvient à hisser au niveau de la moyenne européenne la part du travail indépendant par rapport au nombre total des actifs, plus d’un million d’emplois nouveaux verront le jour d’ici 2025, avec des effets stimulants sur la croissance, la consommation et les recettes fiscales que l’on peut imaginer. Le président de la République a toute latitude pour engager une action sans précédent en faveur du travail indépendant, en engageant une véritable stratégie nationale coordonnée par un secrétariat d’État aux indépendants.

Les Français, salariés les plus pessimistes d’Europe

      • 74% des salariés français se déclarent optimistes
      • La Pologne, l’Allemagne et les Pays-Bas sont les pays les plus optimistes d’Europe
      • 81% des femmes ont confiance en leurs compétences
      • L’Espagne est le pays qui a le plus confiance en ses compétences

Nanterre – le 18 juin 2018 – Les Européens sont souvent caricaturés comme pessimistes et peu confiants mais cela n’est pas vrai pour tous les pays. D’après l’étude Workforce View in Europe menée par ADP (Automatic Data Processing), le leader mondial des solutions de Ressources Humaines, auprès de 9 908 employés européens, plus d’un quart des français interrogés ne se disent pas optimistes quant à leur avenir.

Les salariés néerlandais sont les plus optimistes : 85 % d’entre eux l’affirment, soit une augmentation de quatre points par rapport à l’année dernière, tandis que les salariés français restent en dernière position (74 %), malgré une hausse de trois points par rapport à 2017. Dans le même temps, les changements les plus significatifs se manifestent en Italie, avec une hausse de six points en un an (de 72 % à 78 %), et en Pologne, avec une baisse de huit points (84 % à 76 %).