Edito

Les Femmes dans la ville

Martine Abbou
Ecrit par Martine Abbou

Chers Entrepreneurs de votre vie,

j’entends, je vous entend bien, cette crise sanitaire mondiale du coronavirus bouleverse notre vie,  perturbe notre économie, et l’avenir nous paraît parfois plus qu’incertain. Les femmes ont été en première ligne. Redouté par le confinement, les violences conjugales sont en hausse, l’Onu appelle les états à protéger les femmes des violences domestiques. Ce dimanche 19 avril, méditation mondiale en ligne, faisons l’expérience de la paix et du calme, afin que cette méditation nous aide à traverser les semaines à venir. Des mesures strictes de confinement et de santé publique ont été prises en France et dans une grande partie du monde, la planète est en panne. La commission européenne réclame une coordination des Etats de l’union pour sortir du confinement selon trois critères: capacité de tests suffisante, résilience du système santé, ralentissement de la propagation du coronavirus. source TTSO

Lumière sur, en cette période critique du coronavirus, quelle feuille de route ? Qui conseille le Ministre de la santé.. Un grand nombre d’entre vous se pose aussi la question sur qui fait quoi dans cette crise sanitaire..«  Nous nous sommes tous trompés en matière de santé, et nous allons le payer le prix fort » Personne ne fait jouer son imagination, on reproduit les mêmes schémas..Les mêmes personnes qui tournent en permanence, Innovation vision imagination, en France depuis de très longues années les même schémas se produisent.. source Egora.fr

Nous avons entendu, Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP)  créé par la loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique et mis en place en 2007 (article 2). La loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé a modifié les missions du HCSP par la nouvelle rédaction de l’article L.1411-4 du Code de la santé publique.

Le HCSP a pour missions de :

  1. contribuer à l’élaboration, au suivi annuel et à l’évaluation pluriannuelle de la Stratégie nationale de santé ;
  2. fournir aux pouvoirs publics, en lien avec les agences sanitaires, l’expertise nécessaire à la gestion des risques sanitaires ainsi qu’à la conception et à l’évaluation des politiques et stratégies de prévention et de sécurité sanitaire ;
  3. fournir aux pouvoirs publics des réflexions prospectives et des conseils sur les questions de santé publique ;
  4. contribuer à l’élaboration d’une politique de santé de l’enfant globale et concertée.

La HAS ( haute autorité de la santé) est chargée d’évaluer scientifiquement l’intérêt médical des médicaments. Elle s’occupe également de promouvoir les bonnes pratiques et le bon usage des soins auprès des professionnels de santé. Les experts qu’elle mandate sont “chargés d’une mission de service public” et “n’ont pas le droit d’entretenir des partenariats avec des entreprises intéressées par le résultat de la recherche en question”, explique à l’AFP Elise Van Beneden, secrétaire générale adjointe d’Anticor. 

Face au coronavirus, j’entends aussi votre chagrin votre colère et indignation, mais il existe bien des exemples positifs malgré tout. Le confinement nous a tous permis de réfléchir, de vivre à la fois séparé mais aussi ensemble, d’apprendre à travailler autrement, l’air malgré tout a été plus pur et de nombreuses initiatives d’entraide entre citoyens ont vu le jour. Bonne nouvelle aussi, nos jeunes enfants sont peu touchés,  partout dans le monde, la solidarité s’est multipliée envers le personnel soignant, médecin de ville privé ou publique, une union pointe le bout du nez…

Chère communauté sur les réseaux sociaux certaines femmes ont abandonné leur photo, pour la couleur noire ce mercredi 15 avril, l’objectif lutter contre les violences ” black out féminin ”

la crise sanitaire qui nous touche va surement modifié nos comportements dans le futur, en attendant prenez bien soin de vous.

Martine