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Veuve Clicquot dévoile son premier baromètre international sur l’entrepreneuriat féminin

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Ecrit par wimadame

Texte rédigé par Veuve Clicquot

En France, au Royaume-Uni, en Afrique du Sud, au Japon ou à Hong Kong,
80% des femmes entrepreneures considèrent avoir besoin d’un réseau de femmes entrepreneures pour réussir.

Plus que jamais, dans le monde, les femmes ont besoin de Role Models  qui les inspirent, Mais ces Role Models ne sont plus suffisants, elles ont désormais besoin de Role Makers

Pour la première fois, la Maison Veuve Clicquot dévoile un baromètre international qui dresse un état des lieux de l’entrepreneuriat féminin : les idées préconçues, les barrières mentales et structurelles à lever, comment les dépasser.

L’intégralité des résultats sera révélée lors de l’événement Veuve Clicquot x Women le 11 juin 2019 à Paris. Le constat est sans appel : alors que les femmes accordent plus d’importance que les hommes au fait d’être son propre patron (72% vs 65%), elles sont seulement 28% à vouloir devenir entrepreneure en France. En cause, des constructions sociales freinant leurs ambitions.

En France, 91% des femmes aspirant à l‘entrepreneuriat considèrent les entrepreneures comme des femmes inspirantes. Pourtant, 12% des femmes seulement peuvent citer le nom d’une femme entrepreneure qui a réussi. Pour pouvoir se projeter et franchir le pas, avoir des modèles est clé. Mais cela ne suffit plus. Le besoin des femmes est aujourd’hui plus que jamais d’être inspirées mais aussi d’être aidées et accompagnées, concrètement. Cette nouvelle sororité marque un changement qui s’opère pour passer des Role Models aux Role Makers : des femmes qui aident, qui forment, qui accompagnent pour inspirer celles qui les entourent… à l’audace et à l’action !

En matière d’entrepreneuriat, les femmes sont plus conscientes des risques encourus que les hommes.

En France, 53% des femmes considèrent que les risques pris pour entreprendre ne valent pas les avantages qu’apporte la réussite (contre 48% des hommes). Une exception française, les femmes semblant être plus décomplexées face au risque au Royaume-Uni (38%), en Afrique du Sud (44%), au Japon et à Hong-Kong (48%).

Cette conscience accrue semble être à l’origine d’une prise de risque plus faible chez les femmes que chez les hommes. Les femmes françaises, plus pragmatiques que les hommes, se projettent dans l’impact – négatif – de l’entrepreneuriat sur leur vie de famille, avec une crainte de la difficulté à allier vie professionnelle et vie personnelle.

Cela se confirme une fois le cap franchi ! En France, 54% des femmes entrepreneures constatent qu’il est effectivement plus risqué pour elles d’entreprendre que pour leurs homologues masculins. Et la tendance s’étend malheureusement au-delà des frontières françaises : 57% au Royaume-Uni, 95% en Afrique du Sud, 60% au Japon, 68% à Hong Kong.

Un projet entrepreneurial qui devient un combat de chaque instant une fois les barrières mentales et structurelles levées.

Seulement 28% de femmes (contre 39% d’hommes) veulent devenir entrepreneures en France. Si la nouvelle génération de femmes ose plus facilement être audacieuse avec 42% des femmes de 20-29 ans voulant tenter l’expérience, l’écart se creuse entre les hommes et les femmes en passant de 11 points d’écart toutes générations confondues à 16 points d’écart pour les 20-29 ans.

Et, même si les femmes françaises ne se sentent pas moins légitimes que les hommes dans les postes qu’elles occupent (femmes et hommes sont exæquo avec de part et d’autre, 26% de personnes qui ne se sentent pas à leur place) les barrières mentales et structurelles sont bel et bien là.

65% des femmes aspirantes affirment pouvoir être dissuadées de devenir entrepreneures par peur de l’échec (les hommes ne sont que 54% à ressentir cette crainte). Dans les faits, 36% des femmes entrepreneures affirment avoir déjà connu un échec professionnel en raison de leur genre.

En second lieu, lever des fonds est un vrai défi pour les femmes : pour 41% de celles qui aspirent à l’entrepreneuriat, les hommes sont plus crédibles que les femmes quand ils essaient de lever des fonds pour financer leur projet entrepreneurial. Et ce chiffre grimpe même à 48% chez les femmes entrepreneures françaises. Ces tendances sont mondiales !

Une fois ces barrières dépassées, 72% des entrepreneures françaises pensent devoir faire preuve de plus d’autorité que les hommes pour se faire respecter (63% au Royaume Uni, 69% en Afrique du Sud, 54% au Japon, 71% à Hong Kong). Et, quand elles le font, cela est mal perçu : 50% des entrepreneures françaises pensent que les femmes entrepreneures sont perçues comme trop autoritaires. Ce chiffre est égal ou supérieur à 50% à l’international. Pourtant, cette autorité ne participe pas à faire d’elles des personnes crédibles au moment de lever des fonds.

Alors comment agiret comment tenir? Réinventer l’imaginaire collectif, donner de nouveaux référentiels aux futures générations, agir concrètement, que l’on soit un homme ou une femme, chacun peut devenir Role Maker et inspirer des générations de femmes à oser être audacieuses. D’ailleurs, 72% des femmes françaises aspirant à l’entrepreneuriat expriment la nécessité de s’entourer d’un réseau d’entrepreneures pour briser leur plafond de verre.

Se lancer, Madame Clicquot n’a eu que quelques instants pour y réfléchir. Depuis, la Maison Veuve Clicquot cultive cet héritage d’audace et d’esprit d’entreprise.

L’audace dont a fait preuve Madame Clicquot en reprenant la Maison en 1805, à une époque où les femmes n’avaient pas leur place dans le monde des affaires, demeure encore dans l’héritage de la Maison. C’est pour lui rendre hommage que sont créés le Prix Veuve Clicquot de la Femme d’Affaires en 1972 et le Prix Clémentine en 2014, qui mettent en lumières des femmes entrepreneures au parcours d’exception. Depuis leur création, la Maison Veuve Clicquot a récompensé plus de 350 femmes dans 27 pays à travers le monde.

Aujourd’hui, la Maison Veuve Clicquot souhaite réaffirmer son engagement et agir pour inspirer des générations de femmes à oser être toujours plus audacieuses.

Pour Jean-Marc Gallot, Président-Directeur général de la Maison Veuve Clicquot : « Chacune des lauréates du Prix Veuve Clicquot de la Femme d’Affaires contribue par son énergie et ses expériences à nourrir et renforcer la présence de talents féminins dans le monde de l’entrepreneuriat. » L’ambition ? « Aller plus loin dans notre engagement envers les femmes et donc valoriser celles mais aussi ceux qui agissent. Des Role Makers qui, riches de leur savoir-faire, inspirent et s’investissent pour soutenir les femmes dans l’écriture de leur propre destin afin qu’elles inspirent à leur tour les générations futures » précise-t-il, avant de conclure : « et nous savons que Madame Clicquot approuverait ! »

Le 11 juin, en poursuivant avec des Role Makers de renom une conversation ayant débuté en 1805, la Maison Veuve Clicquot lance une invitation à oser, à s’affirmer, à se lancer, pour contribuer à changer la donne.

A propos de Veuve Clicquot

Depuis sa fondation en 1772, la Maison Veuve Clicquot reste fidèle à sa devise : « une seule qualité, la toute première ». Madame Clicquot fut une femme audacieuse et novatrice. Surnommée la grande dame de la Champagne, elle prit les rênes de la Maison au décès de son époux en 1805 à seulement 27 ans et devint alors l’une des premières femmes d’affaires des temps modernes. Son dévouement, sa vision et son sens inné de l’art de vivre à la française continuent d’exister aujourd’hui dans la Maison qui porte son nom. Veuve Clicquot diffuse son art de vivre à travers sa remarquable collection de champagnes, qui comprend l’emblématique Carte Jaune, et sa cuvée prestigieuse, La Grande Dame.

L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, A CONSOMMER AVEC MODÉRATION

Contact presse :
Myriam Moulay
VeuveClicquotRP@elanedelman.com
+33 6 13 36 39 60