Évènements

Évènements – juin/juillet 2019

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Ecrit par wimadame

Relevé par la communauté wimadame

Bien être au féminin

C’est l’été! maigrir ? quoi encore ? pourquoi vouloir maigrir?
Maigrir pour sa santé mais beaucoup préfère maigrir pour se sentir belle, reprendre confiance en soi, porter ce que l’on veut… Une alimentation saine mais parfois trop copieuse.
Ce mois-ci wimadame a lu le dernier ouvrage du docteur Chauchard… pas mal, au moins ses régimes sont équilibrés car les régimes miracles sont dangereux pour l’organisme et le psychisme.
Quand le foie va mal ou votre pancréas, c’est votre corps tout entier qui va souffrir.
Avant j’étais mince… je n’avais aucun problème… beaucoup de femmes ne comprennent pas pourquoi ? A chacune sa chance…
Vous vous sentez fatiguée, épuisée ? Stress, fatigue, un sommeil de mauvaise qualité, une alimentation trop grasse trop sucrée. Évitez avant de dormir de manger lentilles, pois chiches, les légumineuses tant aimées ont un effet de fermentation dans l’intestin et sont compliquées à digérer…
Pas trop d’alcool… compléments alimentaires.

VEUVE CLICQUOT, PREMIER BAROMÈTRE INTERNATIONAL SUR L’ENTREPRENEURIAT FÉMININ

En France, au Royaume-Uni, en Afrique du Sud, au Japon ou à Hong Kong, 80% des femmes entrepreneures considèrent avoir besoin d’un réseau de femmes entrepreneures pour réussir.
Plus que jamais dans le monde, les femmes ont besoin de Role Models1 qui les inspirent, mais ces Role Models ne sont plus suffisants, elles ont désormais besoin de Role Makers.

Pour la première fois, la Maison Veuve Clicquot a dévoilé un baromètre international qui dresse un état des lieux de l’entrepreneuriat féminin : les idées préconçues, les barrières mentales et structurelles à lever, comment les dépasser. L’intégralité des résultats a été révélée lors de l’événement Veuve Clicquot x Women le 11 juin 2019 à Paris. Le constat est sans appel : alors que les femmes accordent plus d’importance que les hommes au fait d’être son propre patron (72% vs 65%), elles sont seulement 28% à vouloir devenir entrepreneures en France. En cause, des constructions sociales freinant leurs ambitions. En France, 91% des femmes aspirant à l‘entrepreneuriat considèrent les entrepreneures comme des femmes inspirantes. Pourtant, 12% des femmes seulement peuvent citer le nom d’une femme entrepreneure qui a réussi. Pour pouvoir se projeter et franchir le pas, avoir des modèles est clé. Mais cela ne suffit plus. Le besoin des femmes est aujourd’hui plus que jamais d’être inspirées mais aussi d’être aidées et accompagnées, concrètement. Cette nouvelle sororité marque un changement qui s’opère pour passer des Role Models aux Role Makers : des femmes qui aident, qui forment, qui accompagnent pour inspirer celles qui les entourent… à l’audace et à l’action !

Se lancer, Madame Clicquot n’a eu que quelques instants pour y réfléchir. Depuis, la Maison Veuve Clicquot cultive cet héritage d’audace et d’esprit d’entreprise.
L’audace dont a fait preuve Madame Clicquot en reprenant la Maison en 1805, à une époque où les femmes n’avaient pas leur place dans le monde des affaires, demeure encore dans l’héritage de la Maison. C’est pour lui rendre hommage que sont créés le Prix Veuve Clicquot de la Femme d’Affaires en 1972 et le Prix Clémentine en 2014, qui mettent en lumières des femmes entrepreneures au parcours d’exception. Depuis leur création, la Maison Veuve Clicquot a récompensé plus de 350 femmes dans 27 pays à travers le monde.

Aujourd’hui, la Maison Veuve Clicquot souhaite réaffirmer son engagement et agir pour inspirer des générations de femmes à oser être toujours plus audacieuses.

Enquête Opinionway-Horoquartz

Les salariés français plébiscitent le télétravail

Un an tout juste après avoir été assoupli par les Ordonnances Macron, le télétravail est très largement plébiscité par les Français. C’est ce qui ressort d’une étude menée par l’institut Opinionway pour Horoquartz. Un salarié sur deux souhaite que son entreprise lui permette de travailler à distance et à domicile.

Paris, le 23 octobre 2018. Selon différentes enquêtes, entre 15 et 17% des salariés français exerceraient aujourd’hui leur activité en ayant recours au télétravail, à temps plein ou en alternance. Une réalité qui semble cependant très éloignée des attentes exprimées. En effet, selon une récente étude, menée par l’institut Opinionway pour Horoquartz, leader français sur le marché de la gestion des temps et des plannings, 49% des salariés sondés souhaiteraient adopter ce mode d’organisation du travail.

Quels sont les facteurs qui font qu’un salarié plébiscite ce mode de travail ? Quel est le profil-type du télétravailleur? C’est à ces questions, et à bien d’autres, que répond ce sondage réalisé récemment auprès d’un échantillon représentatif de 2 200 salariés français de tout âge, dans tous les secteurs économiques et sur l’ensemble de la France.

Les jeunes en pole position

Alors qu’il y a tout juste un an les Ordonnances dites « Macron » ont assoupli les règles régissant le télétravail, cette vaste enquête remet en cause un certain nombre d’idées reçues sur les différences générationnelles au travail.
Si les sujets marquants de la relation au travail varient peu avec l’âge, les comportements présentent de vraies différences. La possibilité de pouvoir bénéficier d’une organisation plus souple, notamment via le télétravail, en est une. « L’âge est un marqueur générationnel clair dans le souhait de télétravailler, mais ce n’est pas le principal facteur. Notons quand même que 55% des salariés de moins de 30 ans voudraient pouvoir télétravailler pour une moyenne nationale de 49%» relève Thierry Bobineau, Directeur marketing d’Horoquartz.

Des jeunes Français en quête d’une entreprise plus sociétale
PARIS LA DÉFENSE, 13 JUIN 2019

A l’occasion de la 8e édition du « Millennials Survey », Deloitte s’interroge sur les attentes des jeunes dans un monde en pleine mutation. Les Gen Y (ou Millennials) et Gen Z, en référence à la période à laquelle ils sont nés, constituent un groupe de personnes auquel il faut être attentif pour capter, anticiper et comprendre les évolutions en cours. Dans cette nouvelle édition, les attentes des Millennials envers le monde du travail et leurs comportements en matière d’emploi et de consommation sont annonciateurs d’une transformation du modèle d’entreprise. Les jeunes pressent les organisations privées à changer pour relever les défis d’un monde qui va de plus en plus vite et interrogent leur capacité à muter vers une entreprise sociétale.

Une conscience aiguë des opportunités et risques associés aux transformations à l’œuvre.

Bien-être

Le bien-être est un mot valise qui renvoie à la notion de bonheur et d’harmonie. Dans l’entreprise, les gens ressentent un certain bien-être quand ils sont bien dans leur peau et qu’ils éprouvent du plaisir à vivre ensemble.
« Tous les hommes recherchent d’être heureux » écrivait Blaise Pascal. Autrement dit, l’homme n’a qu’un but : accéder au bonheur et, bien qu’il soit spécifique à chacun, il y a des principes communs et l’entreprise ne doit pas avoir de doute sur la manière dont elle doit aider ses salariés à l’approcher au plus près.
Je pense qu’aujourd’hui, on ne peut dissocier le bien-être de la motivation. La motivation dans l’entreprise est une obligation vitale. Or la motivation est un triptyque : le plaisir à faire, l’envie de réussir et le désir de progresser. L’énergie vitale de l’individu, sa forme physique et mentale, son rayonnement psychologique sont directement liés à la qualité du rapport avec son environnement physique et relationnel. La relation à l’autre constitue d’ailleurs la principale ressource énergétique. En fait, il y a deux types de liens : les relations positives, sources d’énergie, de plaisir, de confiance et, au bout du compte, de bien-être et de force, puis les relations négatives qui n’apportent que doute, interrogations, stress et, au final, mal-être et fragilité. Lorsqu’il y a plaisir, l’individu est rayonnant, toutes ses capacités sont activées. Lorsque la relation à l’entreprise est négative, l’individu est inhibé, entre en mal-être, ses capacités sont paralysées, son plaisir décroît et devient nul. L’échec est inscrit.
Jean Noel Gaume

L’ESSENTIALISME

Vous vous sentez débordé, surmené ?  Vous avez l’impression de vous affairer sans parvenir à être réellement efficace ? Vous avez le sentiment que les autres accaparent votre temps ? L’ESSENTIALISME VOUS AIDERA À SORTIR DE L’IMPASSE !
Son but : se concentrer sur l’essentiel pour faire moins mais mieux. Et ce, dans tous les domaines de la vie.
En vous incitant à adopter des critères plus stricts pour distinguer l’essentiel du superflu, la méthode essentialiste vous aidera à reprendre le contrôle de vos propres décisions. Vous choisirez ainsi à quoi consacrer vos efforts, sans donner aux autres la permission implicite de s’en charger pour vous.

L’auteur met à votre disposition une véritable feuille de route, en 3 étapes :

  1. Examiner : distinguer l’essentiel de l’insignifiant ;
  2. Éliminer : écarter le superflu afin de disposer du temps nécessaire pour accomplir l’essentiel ;
  3. Réaliser : élaborer un programme qui facilitera la concrétisation de vos objectifs.

L’essentialisme n’est pas une technique de plus sur la gestion du temps, mais une façon radicalement nouvelle de penser et d’agir.

Best-seller du New York Times et du Wall Street Journal, L’Essentialisme s’est vendu à plus de 500 000 exemplaires et a été traduit dans une quinzaine de langues. www.gregmckeown.com

 « L’ESSENTIALISME »
Faire moins mais mieux !
L’art d’être réellement efficace

Greg McKoewn

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